La résistance aux antibiotiques est un phénomène naturel qui se produit lorsque les bactéries développent la capacité de vaincre les médicaments conçus pour les tuer. Les germes évoluent avec le temps, ne répondant plus aux médicaments, ce qui rend les infections plus difficiles, voire impossibles, à traiter. Ceci, à son tour, entraîne des coûts de soins de santé plus élevés pour les individus et les gouvernements. « La prévention et le contrôle de la résistance aux antibiotiques nécessitent une approche à plusieurs volets, dont les vaccins font partie », déclare le Dr Stanley Midzi, conseiller de l'OMS pour le renforcement des systèmes de santé.

Nous souhaitons vous informer que la Consultation de l'OMS sur la composition des vaccins contre le virus de la grippe à utiliser pendant la saison grippale de l'hémisphère sud 2022 aura lieu virtuellement du 13 au 23 septembre 2021, suivie d'une réunion d'information le 24 septembre 2021, avec les fabricants de vaccins. et les agences nationales de réglementation des vaccins. Plus d'informations sont disponibles sur le site ici. La recommandation de l'OMS sera basée sur l'analyse des virus grippaux récents dans le monde.

De nombreux pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) sont confrontés à un approvisionnement irrégulier en vaccins de qualité garantie et dépendent donc de l'importation pour combler les lacunes dans l'approvisionnement. Il est reconnu que la production locale peut améliorer l'accès en temps opportun et garantir la sécurité sanitaire des approvisionnements en vaccins.

Seul un quart des pays dans le monde disposent d'une politique, d'une stratégie ou d'un plan national pour soutenir les personnes atteintes de démence et leurs familles, selon le « Rapport de situation mondial sur la réponse de santé publique à la démence » de l'OMS, publié aujourd'hui. La moitié de ces pays se trouvent dans la Région européenne de l'OMS, le reste étant réparti entre les autres Régions. Pourtant, même en Europe, de nombreux plans arrivent à expiration ou ont déjà expiré, indiquant la nécessité d'un engagement renouvelé des gouvernements.

La pandémie de COVID-19 a mis en évidence le besoin de technologies de santé innovantes qui peuvent aider les pays à améliorer les résultats en matière de santé en fournissant des raccourcis vers des solutions malgré le manque d'infrastructures et de ressources. Cependant, bon nombre des nouvelles technologies qui sont arrivées sur le marché sont inabordables ou inadaptées aux pays à revenu faible ou intermédiaire.

Lors de sa troisième réunion, le Groupe de travail des dirigeants multilatéraux sur le COVID-19 (MLT), les dirigeants du Fonds monétaire international, du Groupe de la Banque mondiale, de l'Organisation mondiale de la santé et de l'Organisation mondiale du commerce - ont rencontré les dirigeants de l'African Vaccine Acquisition Trust (AVAT) , Africa CDC, Gavi et l'UNICEF pour surmonter les obstacles à l'extension rapide des vaccins dans les pays à revenu faible et intermédiaire de la tranche inférieure, en particulier en Afrique, et a publié la déclaration suivante :

Une communication rapide publiée par le Programme mondial de lutte contre la tuberculose de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a annoncé des orientations importantes sur la prise en charge de la tuberculose (TB) chez les enfants et les adolescents. Cela comprend de nouvelles recommandations sur les options de diagnostic, les schémas thérapeutiques, ainsi que les algorithmes de décision de traitement et les modèles de soins optimaux pour la prestation de services de lutte contre la tuberculose chez les enfants et les adolescents.